Le Main Coon est une « valeur sure ». Les Français l’adorent ! Avec 19 452 pedigrees déclarés au LOOF (Livre Officiel des Origines Félines) en 2020, il conserve sa première place sur le podium.
Il est suivi par le Sacré de Birmanie (5 523 pedigrees, photo ci-dessous).
Vient ensuite à la troisième place, sur la troisième marche de ce podium le Bengal (3 976).
Le Ragdoll, 4ème… d’une courte avance
A noter en 2020 un changement par rapport à l’année précédente : le British Shorthair perd sa quatrième place occupée désormais par le Ragdoll qui la lui rafle d’une courte tête (respectivement 3 106 et 3 192 pedigres).
Viennent ensuite : le Persan, qui conserve sa 6ème place (2 552), le Chartreux (2 181), le Sibérien (1 949), le Norvégien (1 588) et enfin le Sphynx (1 328).
Le LOOF note que même si le Top 10 n’a pas beaucoup changé en 2020 par rapport à l’année précédente, le nombre de pedigrees a, quant à lui, connu une forte croissance : 52 395, contre 45 549. Faut-il y voir un « effet » Covid, en partie ?
A rappeler que toutes races et types de chats confondus, selon les dernières statistiques de la FACCO (Fédération de Fabricants d’Aliments pour Chiens, Chats, Oiseaux et autres animaux familiers), on dénombrait 14,2 millions de félins en 2018.
À retenir
Les chats nés après le 1er janvier 2012 doivent être obligatoirement identifiés, par puce électronique ou par tatouage.
À défaut de cela, leurs maîtres encourent jusqu’à 750 euros d’amende.
En 2019, l’I-CAD qui gère le fichier d’identification des carnivores domestiques (chiens, chats, furets) fait état de 765 681 identifications de chats réalisées en 2019. Soit une augmentation de 9,51 % sur un an.
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