Si tous les perroquets ne parlent pas, certains peuvent être sont plus « criards » que d’autres, comme le gris du Gabon, par exemple. Ce qui a valu à certains maîtres quelques problème de voisinage.
Sur le site du ministère du développement durable, à la rubrique « nuisance sonores », on peut notamment lire que « les bruits des animaux constituent certainement la source la plus fréquente du contentieux relatif aux bruits de voisinage. En effet, ces bruits sont, par nature, plus difficilement supportables que d’autres notamment lorsque l’on vit dans un immeuble collectif, en pavillon, etc. Tous les types d’animaux sont concernés par cette obligation de ne pas troubler la tranquillité d’autrui. »
Si tous les perroquets ne parlent pas, certains peuvent être plus « criards » que d’autres, comme le gris du Gabon, par exemple.
A une époque où des procès sont intentés contre le chant d’un coq ou d’un clocher, mieux vaut parfois peser le pour et le contre avant l’acquisition d’un animal. Certains propriétaires ont déjà essuyé des remarques ou des plaintes concernant le niveau sonore dont est capable leur compagnon à plume.
Certains maîtres de perroquets (locataires de leur habitation) ont fait l’objet de menace d’expulsion.
Elle apprend à son perroquet à insulter ses voisins !
Lynne Taylor n’est pas à cours d’idée pour agacer ses voisins, un couple dont le mari n’est autre que son ex-époux.
Cette habitante de Rhode Island, le plus petit Etat d’Amérique, a appris à son perroquet nommé Willy quelques insultes. Des noms d’oiseaux qui ont incité la voisine à porter plainte. Mais ne pouvant pas le faire directement contre l’animal en lui-même, elle a invoqué le non respect des règles de bien-être sonore.
Cela a conduit la propriétaire de Willy devant le tribunal. Willy devra-t-il fermer son bec ? Les juges n’ont pas encore tranché pour l’heure.
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