Pistou, chien de 15 ans, retrouve toute son énergie
Comme cela est souvent le cas, c’est suite à ce qui s’apparente à un faux mouvement un peu brusque que Pistou, un teckel, a présenté les premiers troubles. « Quelques heures plus tard, son train arrière était totalement paralysé », se souvient Christelle, sa maîtresse.
Conduit chez le vétérinaire, celui-ci a toutefois « constaté à l’auscultation une légère sensibilité qui pouvait laisser espérer une récupération. Malheureusement, malgré deux injections de corticoïdes, son état ne s'était pas amélioré et il souffrait toujours autant. L'intervention chirurgicale m'a, dans un premier temps, été déconseillée, compte-tenu de l'âge de Pistou (14 ans) et la question de l'euthanasie, tant redoutée, m'a alors été posée. Cette issue n'était, bien entendu, absolument pas envisageable. »
Une situation terrible pour Christelle. « Les chances de récupération s'amenuisaient au fil des jours, car les lésions de cette nature doivent normalement être traitées extrêmement rapidement et, de préférence, dans les heures qui suivent l'accident. »
C’est un vétérinaire, ami de la famille, que Christelle ne pouvait pas consulter immédiatement compte-tenu de l'éloignement géographique, qui lui a alors conseillé de prendre contact avec un confrère neurochirurgien. « Ses compétences sont particulièrement reconnues par la profession - le meilleur de la région m'avait-on dit -... et j'en suis totalement convaincue. »
Vu les lésions et des neuf jours de paralysie, le diagnostic restait réservé : « Le chirurgien m'a fait savoir que les chances de le voir marcher à nouveau ne dépassaient pas 10 à 20 %. »
Une myélographie, effectuée avant l'intervention, a révélé un œdème très important, laissant entrevoir que des morceaux de disques s'étaient probablement introduits dans la moelle épinière.
« Après l'opération, le vétérinaire m'a informée du fait qu'il s'agissait d'une double hernie discale et que la moelle épinière avait été endommagée à plusieurs endroits », poursuit la maîtresse de Pistou.
C’est alors qu’elle prend connaissance, une nouvelle fois par une personne de son entourage, de l’existence du Kerdog de la société Sofiadog. « Celle-ci m'a alors communiqué les coordonnées d'un interlocuteur de SantéVet. Tout s'est déroulé parfaitement ensuite. Je souhaite souligner la grande réactivité, le professionnalisme et la disponibilité des personnes de vos services, depuis le premier contact, jusqu'à la prise en mains du chariot de rééducation », insiste Christelle.
Pistou s'est adapté immédiatement à cet appareillage. « Le fait de pouvoir se tenir debout à nouveau, alors qu'il était paralysé depuis deux mois, lui a donné encore plus de combativité. »Christelle estime que la rééducation, effectuée à son domicile, s'est déroulée sans difficulté « et chaque semaine révélait de nouveaux progrès ».
Pistou va fêter ses 15 ans dans deux mois. Pour le plus grand bonheur de sa maîtresse, « il est en grande forme et a retrouvé toute son énergie et sa vitalité. Je suis infiniment reconnaissante envers toutes les personnes qui sont intervenues pour nous aider à parvenir à ce résultat. »
« Je serais ravie que ce témoignage permette à d'autres personnes de découvrir cet appareillage aussi astucieux qu'efficace et j'espère vivement que le Kerdog séduira bon nombre de particuliers et de professionnels », conclut Christelle.
Eliot, les premiers bienfaits de l’appareillage
Eliot est un Coton de Tuléar âgé de 4 ans. Tout a commencé semble-t-il pour Liliane, sa maîtresse, comme son chien avait fait « un faux mouvement ».
« Cela est arrivé un dimanche alors que nous étions en vacances », se souvient-elle.
« Sur le moment, il s’est plaint. Mais le temps passant, j’ai rapidement vu que son comportement n’était pas habituel. C’est ainsi lorsque l’on connaît et que l’on aime son chien ! »
Eliot s’essoufflait, avait l’air fatigué. « J’ai relevé le numéro de téléphone du vétérinaire le plus proche afin de prendre rendez-vous dès le lendemain. Il a eu du mal à dormir et effectivement le lundi son état nous inquiétait davantage. Après une première patte, c’était une seconde qui semblait touchée. J’ai donc consulté au plus vite. »
Le verdict du vétérinaire est tombé : Eliot souffrait d’une hernie discale. Sans attendre, le praticien a référé le cas auprès d’un confrère « dans grande clinique vétérinaire nantaise où nous nous sommes rendus ».
L’opération était inévitable. « Alors âgé de 3 ans et demi à l’poque, nous avons accepté l’opération », explique la maîtresse d’Eliot.
5 jours en hospitalisation ont été nécessaires. « Les frais vétérinaires ont été pris en charge par SantéVet sans problème puisque j’ai souscrit pour lui une assurance santé animale pour Eliot », explique encore Liliane.
Il a fallu ensuite entreprendre une rééducation, « mais sa paralysie des pattes ne disparaissait pas. On m’a parlé d’une nouvelle vétérinaire récemment installée dans ma région et qui pratiquait l’ostéopathie ».
Des frais, comme ceux d’autres médecines dites « douces » ou « manuelles », que prend également en charge SantéVet dès lors qu’ils sont effectués par un vétérinaire.
« Les progrès d’Eliot n ‘étaient pas flagrants. Aussi, nous avons opté pour un appareillage avec le chariot KerDog », poursuit-elle.
Après un premier mois d’utilisation, et les premiers progrès d’Eliot, il a été décidé de poursuivre l’appareillage.
« Certains jours, il est décidé. D’autres, non et il le boude ! Mais je le laisse dedans, car cela permet notamment de le maintenir. Et lorsque je le promène, c’est alors sans laisse afin qu’il n’ait pas trop de contrainte. »
Combiné à des séances d’acupuncture, les résultats commencent à se faire sentir. « Eliot parvient, à sa manière, à se mettre debout. Il a davantage de sensations qu’àprès l’intervention et j’espère que les choses vont aller en s’améliorant encore. »
La maîtresse d’Eliot, prévenante, a également fait l’acquisition d’une poussette pour faciliter certains déplacements avec son compagnon.
Lucienne, une hernie discale irréversible
Le bouledogue français peut être prédisposé à des problèmes de dos. C’est malheureusement le cas de Lucienne, femelle bouledogue français paralysée du train arrière suite à une hernie discale, malgré une opération.
Une hernie discale, suivant son stade, peut être de pronostic sombre. Pour obtenir un bon taux de récupération, l’intervention chirurgicale doit avoir lieu rapidement après l’apparition d’une paralysie.
Le recours à l’appareillage apparaissait comme une dernière chance. « J'ai pris les mesure en relation avec une personne de l'entreprise via Skype », explique Jean-Baptiste, son maître.
« Notre vétérinaire est venu installer notre chienne dans le chariot, encore une fois avec une liaison Skype qui permettait à l'interlocuteur de nous guider. »
« Notre Lucienne était assurée chez SanteVet. Bien entendu, cela a considérablement allégé la facture et surtout facilité la décision d'équiper Lucienne de cet appareil », précise encore son maître.
Au début, Lucienne ne bougeait pas, une fois appareillée. « Puis un peu plus par la suite... Elle semblait toutefois heureuse de pouvoir se déplacer. »
Malheureusement, le cas de cette petite bouledogue était irréversible et son maître, en concertation avec son vétérinaire a dû prendre une difficile décision. L’appareillage aura permis d’offrir un peu de répit à Lucienne pour améliorer sa fin de vie.
« Nous avons été très bien soutenu, c'est une excellente praticienne, très dévouée », conclut Jean-Baptiste.
SantéVet
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